Aan u de Tour: STRASBOURG – PARIS CA MARCHE ! STRASBOURG – PARIS CA GRIMPE !
Troisième version d'un Tour de France en utilisant les étapes déjà tracées par le passé par les différents organisateurs du Tour. Cette fois j'enchaîne les différents massifs (en ajoutant deux monts célèbres hors massif) en programmant quelques étapes de liaison pour les sprinters. Les rouleurs sont aussi servis. Très peu de transferts aussi. J'intègre une fois encore des étapes d'autres épreuves pro. Et un brin de perso....... Un tour qui ne devrait pas échapper à un grimpeur avec total de 39 cols avec une majorité toutefois de 2C ( HC:8, 1C:14 et 2C:17).
door Jo Juju et Camille over 
door Paul over
Vendredi.
Prologue à Strasbourg. 7,1 km. Tour 2006. Premier CLM de ce Tour avant de rentrer dans le vif du sujet dès la première étape ! Les Vosges sont à deux pas profitons-en !
Samedi.
Étape 1. Strasbourg – Mulhouse. 249,5 km. Tour 1992. Une longue étape qui devrait permettre de décanter le général avec une arrivée se jouant au sprint par un groupe de 30 coureurs comprenant tous les favoris. Une échappée matinale peut aussi aller au bout. Pas moins de 7 ascensions répertoriées sur le parcours mais les % ne sont pas élevés.
GPM : Kreuzweg, Fouchy, Calvaire et Bramont (3C), Bagenelles et Schlucht (2C), Grand Ballon (1C).
Dimanche.
Étape 2. Mulhouse – La Planche des Belles Filles. 161,5 km. Tour 2014. Cette fois les favoris vont se dévoiler mais auront-ils envie de prendre le maillot si tôt ? Une belle étape pour moi qui finira de mettre en valeur le massif.
GPM : Croix (3C), Firstplan et Oderen (2C), Petit Ballon, Platzerwasel, Chevrères et La Planche-des-Belles-Filles (1C).
Lundi.
Étape 3. Besançon – Lyon. 249 km. Tour 1947. Les sprinters ont enfin la route pour eux. Le peloton peut tranquillement gambader. On traverse beaucoup de départements dont le Jura, l'Ain et l'Isère mais pour rester sur du plat. Nous reviendrons par ici en fin de Tour et ce sera plus corsé.... Les équipes logent pour deux jours dans le bassin Lyon – Saint Étienne.
Mardi.
Étape 4. Chalon-sur-Saône – Saint Étienne. 240,5 km. Tour 1961. Une deuxième longue étape consécutive promise aux sprinters malgré la passage par le Col des Sauvages aux pourcentage moyen inférieur à 4,5% mais avec des passages à 8%.
GPM : Col des Sauvages (2C).
Mercredi.
Étape 5. Tarare – Pays d'Olliergues Col du Béal. 156 km. Critérium du Dauphiné 2014. Une belle entrée en matière pour la première étape du Massif Central qui s'achèverait ainsi au sommet d'un col que beaucoup attendent sur le vrai Tour.
Je reprend les classements des GPM du Dauphiné : Côte d'Albigny (4C), Col des Pradeaux (3C), Côte de St Marcel l'éclairé, Côte de Bard et la Croix de l'Homme Mort (2C), Col du Béal (HC).
Jeudi.
Étape 6. Clermont-Ferrand – Le Mont Dore-Sancy. 134 km. Étape de ma composition (avec le retour de Ceyssat un col oublié à grimper à froid) pour mettre en valeur le plus haut sommet du Massif Central en offrant un boucle autour du Puy de Sancy. Je pense aux images hélicos. Un premier passage au Mont Dore mais pas sur la ligne d'arrivée tracée à 1320m sur le parking de la station de ski. Une étape qui sans être redoutable au niveau des pourcentages est courte. Le but est qu'elle soit nerveuse. Les équipes pourront facilement rejoindre par autoroute les hôtels réservés en Nouvelle Aquitaine. Une étape plutôt ouverte aux baroudeurs qu'aux favoris du Tour. Mais des surprises restent possibles.
Le parcours : Col de Ceyssat (1C) 9,6 km à 6,48% de moyenne (pourcentage max 10%), Col de Guéry (3C) 8,4 km à 4,51% de moyenne (pourcentage max 6%), passage au Mont Dore (Route de Clermont, Rue du Capitaine Chazotte, Rue Meynadier, Avenue Foch, Rue du Maréchal Juin et Avenue Georges Clémenceau), Col de la Croix St Robert (2C) 6,3 km à 6,05% de moyenne (pourcentage max 10,3%), Super Besse – Col de la Geneste (3C) 11,8 km à 2,72% de moyenne (pourcentage max 8,4%), Col de la Sœur (3C) 7 km à 4,43% de moyenne (pourcentage max 6,5%), La Bourboule, Montée de la Roche Vendeix (2C), 4,3 km à 6,6% de moyenne, descente technique et ombragée vers le Mont Dore, Montée vers la Station de Ski du Mont Dore (2C) 3,8 km à 7,1%.
Résumé des GPM : Ceyssat (1C), Guéry (3C), Croix St Robert (2C), Geneste (3C), Sœur (3C), La Roche Vendeix (2C) et Station du Mont Dore (2C). Le classement des GPM a le droit d'être contesté. Celui que je fait a pour but de faire naître une échappée maillot à pois.
Vendredi.
Étape 7. CLM Lac de Vassivière-en-Limousin. 45,7 km, 45,5 km ou 46,5 km selon que l'on prenne le Tour 1985, le Tour 1990 ou le Tour 1995. Place aux rouleurs qui peuvent ainsi rattraper le temps perdu dans les premières étapes de Montagne ou se détacher s'ils ont pu suivre le rythme jusque là dans les cols.
Samedi.
Étape 8. Limoges – Villeneuve-sur-Lot. 203,5 km. Tour 2000. Étape de transition pour sprinters. RAS de particulier. Il faut bien descendre vers les Pyrénées ! Ah si ! 4 petites côtes pour le GPM. Une 3C en début d'étape et trois 4C par la suite. Une étape où les drones et hélicos filmeront bien sur Lascaux !
Dimanche.
Étape 9. Agen – Pau. 193,5 km. Tour 1980. En temps que Gersois de naissance je me permets la traversée Nord-Sud de ce département. Ravitaillement à Vic-Fezensac, ville de fèria. La côte de Jegun (petit chef-lieu de canton bien sympa) est au programme de cette étape restée dans les mémoires pour l'abandon d'Hinault à son issue.
Il est temps de prendre du repos. Je choisis Pau pour être en osmose avec ASO !
Lundi.
Journée de Repos à Pau où les équipes ont pris leurs marques pour plusieurs jours.
Mardi.
Étape 10. Orthez – Gourette Col d'Aubisque. 218,5 km. Tour 2007. Un gros morceau comme première étape pyrénéenne. Une incursion en Espagne qui permet d'escalader un des cols les plus difficiles et pentus du massif : le Port de Larrau. L'affaire Rasmussen avait terni cette étape en 2007. On lui donne une deuxième chance...à l'étape...pas à Rasmussen !! Le général peut être considérablement chamboulé au soir de cette étape.
GPM : Port de Larrau (HC), Alto Laza (3C), La Pierre St Martin (1C), Marie Blanque (1C) et Aubisque (HC).
Mercredi.
Étape 11. Pau – Cauterets Vallée de St Savin. 188 km. Tour 2015. Une seconde étape plus douce dans le massif pyrénéen mais le Tourmalet au menu quand même. Histoire de laisser la chance aux favoris battus la veille de prendre rapidement une revanche. On dort une quatrième nuit à Pau.
GPM : Loucrup (3C), Bagnères de Bigorre (4C), Mauvezin (3C), Aspin (1C), Tourmalet (HC) et Côte de Cauterets (3C).
Jeudi.
Étape 12. Pau – Revel. 239,5 km. Tour 2005. Une étape promise aux sprinters ou aux échappées car ce sera montagnes russes toute la journée. Un petit clin d'œil à Trie-sur-Baïse, où cette étape passe, ville départ en 2018. L'étape de transition parfaite pour être animée toute la journée. 4 côtes répertoriées pour le GPM Baleix (3C), Belbèze (4C), Capens (4C) et bien évidemment St Férréol (3C) à moins de 7 kilomètres de l'arrivée.
Vendredi.
Étape 13. Revel – Sète. 191,5 km. Tour 1966. Nouvelle étape de transition 100% en Occitanie. La part belle aux sprinters avec la seule côte de Carlencas répertoriée.
Samedi.
Étape 14. Béziers – Montélimar. 231 km. Tour 2006. Troisième étape de transition. Troisième étape longue. Mais je préfère voir les coureurs sur le vélo que dans les voitures ou les bus pour effectuer les trajets sachant que les transferts entre villes arrivée et villes départs et les hôtels sont assez courts dans ce Tour par rapport à certaines programmations ASO. Ce soir toutefois petit transfert des équipes vers Avignon et Carpentras. 4 petites côtes 4C répertoriées (Puéchabon, Col de la Cardonille, Saint-Maurice d'Ibie et Villeneuve de Berg) au GPM. Les drones et hélicos devraient tourner autour de l'Ardèche (et de Vallon Pont d'Arc) que l'on traverse.
Dimanche.
Étape 15. Carpentras – Mont Ventoux CLM. 36,5 km. Tour 1987. Pour fêter les 30 ans de l'exploit de Jean-François Bernard. Troisième et dernier CLM où l'équilibre est pour moi trouvé avec un prologue, une étape de 45 km pour rouleur et un difficile « cronoescalada ». Transfert des équipes vers les Bouches-du-Rhône pour la journée de repos.
GPM : Le Ventoux est bien sûr (HC).
Lundi.
Repos à Marseille.
Mardi.
Étape 16. Gréasque – Toulon Mont Faron. 98 km. Tour Méditerranéen 2011. Une étape courte et nerveuse au lendemain du jour repos. Et le choix de cette arrivée pour mettre, en plus de l'étape du Mont Dore, un peu d'inédit au programme. En tant qu'arrivée puisque le Tour 1957 a vu le peloton monter et descendre ce Mont Faron entre Cannes et Marseille. A priori le versant de l'arrivée est inédit.
Je reclasse les GPM façon Tour Méditerranéen pour les remettre à une sauce ASO. Mais mon choix de classement peut-être discuté !
GPM : Col de l'Espigoulier depuis Auriol (13,8 km à 3,78% de moyenne et des passages à 10%) (2C), Côte du Camp du Castellet (4C), Col du Corps de Garde (8,3 km à 3,04 %, un col à paliers avec des passages à plus de 15 % dans le deuxième kilomètre, les premiers 2400 m à 6,5% de moyenne tout comme les derniers 1400 m) (2C) et Mont Faron (4,1 KM à 9,27% de moyenne et les 500 premiers mètres à 11,5%) (1C).
Mercredi.
Étape 17. Draguignan – Briançon. 249,5 km. Tour 2000. C'était court mardi ce sera long mercredi ! Pas d'arrivée au sommet mais une étape avec un des meilleurs enchaînement de cols dans les Alpes (pour moi mais je connais moins ce massif que les Pyrénées ou le Massif Central) avant une arrivée en descente. Les coureurs à la lutte pour le maillot à pois et les premiers du classement général ont une belle occasion de se mettre en valeur.
GPM : Côte de Canjuers (2C), Col d'Allos et Col de Vars (1C), Izoard (HC).
Jeudi.
Étape 18. Bourg d'Oisans – Villard-de-Lans. 91,5 km. Tour 1989. C'était long mercredi ce sera court jeudi ! Et pas trop difficile en plus. Mais étape piégeuse par excellence. Beaucoup de leaders devraient garder des forces pour la dernière étape décisive. Pas de Cols que des côtes.
GPM : Côte de Laffrey (2C), Côte de St Nizier-de-Moucherotte (1C) et Balcon de Villard (3C).
Vendredi.
Étape 19. Veurey-Voroize – Saint Priest. 119 km. Tour 1981. Retour dans la métropole lyonnaise. Inutile de faire trop long alors que tout le monde attend le dénouement du lendemain. Quelques côtes à se mettre sous la dent pour favoriser les échappées en début d'étape mais rien de terrible. D'autant que les places au général devraient être assez figées à ce jour de la course. Mais si le leader est attaqué et répond comme Hinault en 1981 le spectacle sera assuré assuré !
GPM : Cote de Montaud (2C), Côte de Parmènie (3C), Côtes de Saint André, Commelle et Marennes (4C).
Samedi.
Étape 20. Bellay – Grand Colombier. 130 km. On a fait court vendredi on fera court samedi ! Deuxième étape de ma composition (il faut bien que je bosse en peu non!) afin de rendre décisif ce massif du Jura dans ses pentes sévères du département de l'Ain. Un peu d'inédit (le col de Mazières et le col de Cuvillat de mémoire jamais emprunté) pour finir les difficultés sur le superbe enchaînement Biche – Grand Colombier dont je sais que beaucoup ici son fans ! Moi aussi ! Par rapport à ASO 2017 je fais le choix de descendre jusqu'à Artemare histoire de rallonger la montée finale.
Cela donne comme parcours : Bellay, Sutrieu, Col de Mazières (1C) 6,3 km à 8,4% , Cormaranche en Bugey, Hauteville Lompnes, Champdor, Col de Cuvillat (2C) 3,9 km à 6,4% et son dernier kilomètre à 9% qui lui vaut le classement en 2C au GPM, Ruffieu, Col de Richemont (3C) avec un « t » sur Michelin et chez Altigraph et un « d » chez ASO le GPM placé à 1,6 km du sommet (1063m) pour une montée de 8 km à 4,9%, Craz, D30c, Seyssel, Col de la Biche (Croix de Famban) (HC) 13,3 km à 7,95% (8,9% sur 10,3 km!), Descente par Brenaz et Champagne en Valromey, Artemare, Montée du Col du Grand Colombier par Munet, Assin et la D 120c (HC) 15,5 km à 7,98% avec le 11ème kilomètre à 15% de moyenne et ses pourcentages au-dessus de 20%.
Résumé des GPM : Mazières (1C), Cuvillat (2C), Richemont (3C), Biche (HC), Grand Colombier (HC).
Dimanche.
Étape 21. Disneyland – Champs Elysées. 149,5 km. Tour 1997. Le kilométrage peut aussi être réduit en supprimant le passage par Meaux et en se dirigeant directement vers Lagny. Mais prévoir du fromage en dessert est un choix délibéré !
J'adore l'idée de commencer par la montagne...
Je commence un Tour au départ de l'Arriège avec 3 étapes dans les Pyrénées...
Il y a aussi un clm par équipe
un chrono en côte
des pavés
et on termine par un chrono vers les Champs...
Je posterais cela très prochainement...
Bonjour Pierre, bonjour David.
J'ai dans mes cahiers un Tour au départ de l'Ariège.
Curieux de découvrir comment vous ferez "tourner" le votre. Arrivée à Paris ?
En revanche, je n'ai aucun Tour de France ni aucun Tour d'Italie avec plus de 12 étapes influencées par la montagne.
De mémoire (j'ai un guide du Tour 1961 enfouis dans mes archives mais où ...), si le col des Sauvages fut le seul répertorié au GPM (3C ?) , d'autres montées figuraient au menu vers Saint-Etienne cette année-là.
Je me demande ce que pourrait "offrir" une étape comme Mulhouse-1992 (249 km) de nos jours.
Aubisque-2007 : je suis en désaccord avec les critiques (de certains membres du Gruppetto notamment) envers cette belle étape d'usure, désaccord y compris sur le positionnement.
Question en suspens aussi pour les chronos. Passons sur le prologue, mais les 36 km de Carpentras-Ventoux couplés aux 45-46 km (tout sauf plat) du lac de Vassière. Quid ?
Sur le Giro n°96 Nibali avait résisté à Wiggins sur les 55 km moitié très accidenté-moitié plat dans les Marches et enlevé le cronoscalata de Polsa ...
C'est le seul exemple comparatif.
Briançon-2000: pas d'arrivée au sommet, ne négligeons pas la Gargotte présente sur certaines éditions.
Un petit rappel de Villard de Lans-1989.
Quand Fignon s'isola (dans Saint-Nizier) en tete, ce fut le grand "bluff" entre Delgado et Lemond avant que l'Espagnol n'assume seul la poursuite.
A l'arrivée Fignon s'imposa avec 23" sur Lemond (et 3-4 coureurs) et ... 32" sur Delgado (décroché sur Cote-2000).
9 secondes ! quand on se souvient de ce qui sépara Lemond et Fignon à Paris.
Je serai curieux de voir Biche-Gd Co la veille de Paris.
Ciao.
Merci André de vos écrits toujours très lumineux.
Cordialement
Bonjour Pierre
J'aime beaucoup cette idée de Tour créé avec des étapes réelles à laquelle je m'étais essayé il y a quelques temps. Mais en ajoutant Paris-Nice, le Dauphiné et d'autres courses locales, l'exercice est quand même plus simple ;)
De la montagne très tôt dans le parcours. Mulhouse est franchement pas mal en tout début de Tour parce qu'on ne laissera pas filer un groupe de baroudeurs et donc on devrait avoir une belle lutte avec le peloton. Par contre, du coup, c'est dommage de mettre tout de suite après une étape pour favoris. J'aurais bien aimé que le maillot jaune à Mulhouse puisse le garder 2/3 jours pour un peu plus d'enjeu. De plus, l'approche de la PDBF n'a pas besoin d'être aussi chargée. L'étape du dernier Tour d'Alsace convenait mieux.
Ok pour la transition et un nouveau test sur les pentes du Béal.
Le Mont-Dore pas vraiment décisif avec cette boucle dans ce sens-là. Mais bon, les possibilités sont limitées autour du Puy de Sancy.
Gros CLM en fin de première semaine, schéma qui a décidément la cote en ce moment.
L'Aubisque comme le Tour 2007 ou la Vuelta 2016 ? J'hésite. Dans les deux cas, de bonnes étapes de toute façon.
Cauterets ne m'emballe pas plus que ça. Son placement était horrible entre la PSM et Beille mais même en sortie de massif, la route est longue entre Luz et la ligne d'arrivée ...
Le CLM du Ventoux : Je ne suis pas spécialement fan de l'exercice surtout sur cette montée qui est suffisamment dure pour faire de grosses différences sur une étape en ligne. En tout cas, ça fait du bien après 3 étapes promises aux sprinteurs/baroudeurs.
Ok pour le Faron avant une étape plus emballante vers Briançon. La bonne grosse tappone comme Prudhomme n'aime plus (pas ?) s'y frotter.
Tiens, on faisait des étapes si courtes que ça dans les années 80 ! Laffrey descendu par le versant N85, ça fait mal au coeur. Et St Nizier, assez roulant. Le côté étape sprint permettrait d'avoir une étape bien animée mais le potentiel de la région n'est pas exploité à sa juste valeur, je trouve.
Enfin, le Grand Colombier, il y avait pas moyen de piquer un parcours du Tour de l'Ain ? Biche/GC, oui c'est très bon mais quand on se souvient de la descente vertigineuse de Reichenbach l'année dernière, je ne peux que réclamer une arrivée dans la vallée (Seyssel ou Culoz).
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