À votre Tour : GIRO D'ITALIA n°99/TOUR DE FRANCE n°103

"Inspirations" sur base des rumeurs, réservations d'hotels, déclarations diverses ou annonces officielles.

• créé par André le lundi 13 juillet 2015 à 08h57 | 22433 consultations | 187 messages
  
  

  André - le samedi 23 juillet 2016 à 18h51 Bonsoir. Le 103ème Tour de France m'a ouvert les yeux sur l'inéluctable : je vieillis ! Pas seulement physiquement avec ce satané nerf fémuro cutané coincé depuis plus de mois. Jusqu'il y a peu, je suivais les étapes dites décisives/intéressantes fusionnellement avec mon transat que je ne quittais à un moment non stratégique pour satisfaire le plus petit besoin possible. Las, après en avoir pris plein la vue sur le terrain d'un Tour d'Italie de "haut vol", j'ai trop souvent déserté la lunette du Tour. Plutot que de m'énerver face à l'attitude incompréhensible d'un troupeau réduit à l'impuissance et l'immobilité par l'"antenne" de bergers figés, j'ai priviligié le soleil de ma terrasse/pelouse un oeil sur l'avancement de mes cahiers, une oreille (quand meme) à l'écoute plutot d'Eurosport que France TV. Rien à médire de Laurent Jalabert. Pour Thierry Adam et Gérard Holtz, je commence à etre "vacciné". Evidemment, remplacer "Paulo la Science" était impossible, mais subir ce "dictaphone" au timbre et au style (je parle pour moi) désagréable, c'en est trop. Bardet (vendredi j'ai aimé son tempérament, son instinct), Sagan, Dumoulin, Cavendish, Pantano, et bien sur Froome ne suffisent pas pour relevé ce cru décevant. La météo était belle en octobre dernier aux yeux de certains. Les critiques pleuvent non sur le cyclisme mais à l'endroit d'un Tour de France perdant ses racines pour devenir plus mondain que sportif. Je ne suis pas toujours d'accord avec Marc Madiot, mais son discours sonne juste quand il dénonce les dérives actuelles. Sean Kelly a abondé dans le meme sens. Les journalistes spécialisés hors hexagones ont pointé bon nombre d'incohérences. L'attitude de Christian Prudhomme, très pointilleux, pour tancer hier le DS de Rui Costa (poursuivi par Bardet) trop souvent aux cotés de son coureur, mais aux abonnés absents lorsque le DS d'Alaphilippe (cet après-midi), en toute impunité, vint et revint près de son coureur ... La nervosité affichée, fait inhabituel, dans le chef de l'état major d'Issy les Moulineaux était (selon certaines sources) palpable. Facile de critiquer ? Je vous invite à relire les commentaires octobre dernier. Des Pyrénées (de belles étapes individuellement) mais en forme de "goulot" vers Arcalis. Mauvais équilibre des chronos avec Megève trop peu sélectif (meme si les étapes contre la montre furent sources d'animation). Des cols de Haute-Savoie (excepté Bisanne) durs mais pas super-explosifs. Que ce soit tout à fait clair, j'applaudis Forclaz-Emosson meme si j'aurais opté (comme signalé par René) pour l'autre pied de la Forclaz. 3 étapes alpestres sur 4 ratées, et que dire de l'Ain (montée sud-ouest du Gd Co et Biche ?) ! Certaines critiques touchent l'organisation. Je passe sur le Ventoux, fallait s'adapter. Par contre, il est intolérable de voir des coureurs (ténors compris) ne rejoindre les hotels que très tard. L'ouverture au public ne peut déborder sur le sportif. L'exceptionnel (Puy de Dome 1975, Aspin 1950) ne peut devenir un récurrent au XXIème siècle. Faudrait-il limiter certains accès, et comment ? Sanctionne-t-on fermement les "gros imbéciles" qui perturbent les coureurs en courant à coté ? L'UCI doit revoir certains règlements et les respecter. Ne nous avouons pas vaincu. Les étapes du premier évènement sportif annuel mondial ne peuvent se limiter à une succession de course de tiercé ou de 800m d'athlétisme : controle-positionnement-sprint final (que ce soit en plaine ou en montagne) ! Je suis déçu, pas abattu, et comme toujours triste d'abandonner le Tour pour 11 mois. Si le Giro a été capable de changer son fusil d'épaule après l'ère Zomegnan, le Tour peut aussi revoir sa copie et nous faire vivre dans les années futures des joutes légendaires avec de grands cols de haute altitude longs et de grandes étapes de haute montagne "ciblées" : Stelvio 2012, Val Martello 2014, Aprica et Sestrières 2015, Corvara, Risoul ou Santa Anna di Vinadio 2016. En 2013 les étapes reines du Galibier, Paradiso del Cevedale, et Tre Cime di Lavaredo furent "amputées" suite à la neige (-17° un jour à 2000m d'altitude). J'imagine mal, demain, Christian Prudhomme affichant sa satisfaction quant au déroulement de ce Tour présenté comme exceptionnel. Il me tarde de découvrir les aménagements/changements (qui doivent etre apporté pour que la légende ne s'éteigne pas) lors de la présentation du futur Tour de France. Impatience toute aussi grande pour la découverte du Tour d'Italie numéro cent. Ciao.

  AT - le samedi 23 juillet 2016 à 19h47 Vraiment un triste Tour... Je suis totalement d'accord avec vous André. J'aimais bien le parcours quand il a été présenté, mais c'est vrai qu'il était problématique. Déjà la première semaine était trop peu sélective, elle n'a créé aucun écart entre les favoris. On a souvent dit que c'était le point fort des Tours de Prudhomme (Tour 101 en particulier), là ce n'était pas le cas. Les Pyrénées, comme d'habitude (Tour 100 mis à part), étaient ratées. La transition Alpes-Pyrénées surévaluées avec un Grand Colombier (honteusement classé HC par son versant le plus facile) gâché. Le Ventoux était le col le plus dur du Tour (le seul col de plus de 15 km, avec le Tourmalet qui n'était pas en position décisive), il a été raccourci... Quant aux Alpes, aucun enchaînement (à part Forclaz-Emosson), des étapes trop courtes, des cols trop courts, et avec de tels coureurs ça ne pardonne pas... Où s'est joué ce Tour ? A posteriori on dirait spontanément sur les chronos. Mais est-ce que ce n'est pas déjà sur Peyresourde que ce Tour s'est joué ? Le déroulé de cette étape - avant le numéro de Froome - était décevant, mais maintenant que le Tour est fini, on constate que c'est le col qui a vu le plus d'attaques ! A partir de là, Froome est en jaune, Quintana démoralisé, et les autres ne venaient pas pour gagner le Tour, donc plus aucune adversité pour Froome. Et à partir de là, ennui mortel. Avant le départ, on pensait que le parcours était bon, et que le plateau serait de haut niveau ; on avait tout faux. Il faut jeter un coup d'oeil sur ce top 10 : Froome 1er rien à dire, Bardet 2ème c'est super, mais derrière... Quintana dans la méforme de sa vie sur le podium (il devrait se cacher quand il va monter sur la boîte tellement il a été minable), Yates 4ème, Porte 5ème, Valverde (qui sort du Giro) 6ème. Personnellement je trouve que c'est un triste top 6 étant donné ce que chacun de ces coureurs a montré sur ce Tour. J'ai aimé Rodriguez, qui pour son dernier Tour a arraché la 7ème place. Il a repris 48 secondes sur le groupe des favoris (sur Geraint Thomas en fait), était-il donc vraiment impossible d'attaquer ? Cette montée de Joux-Plane est une honte pour le cyclisme : on a vu un suspense incroyable entre 4 coureurs vaillants en tête de course, et pour le maillot jaune le néant. Peut-être que le Tour a connu de jours bien plus noirs (dopage), mais en ce qui concerne le spectacle je crois que ce Tour 103 a été l'un des pires crus depuis la création de l'épreuve. Je n'arrive pas à me réjouir de l'absence de suspicion sur les performances affichées. Et je suis vraiment triste de voir le plus grand événement sportif annuel verser dans une telle médiocrité. (Heureusement qu'il y avait Bardet...)

  Olivier73 - le dimanche 24 juillet 2016 à 14h34 Bonjour à tous, je ne vous rejoindrais que sur un point : ce Tour de France fut catastrophique au niveau de la course au maillot jaune. Pour le reste, je ne vous suit pas. Le parcours n'a rien à voir dans cette course ennuyeuse. Nous avons simplement eu affaire à des coureurs tous suiveurs, incapable de se bouger le c.. pour faire la course. Certes, les Pyrénées étaient dessinées à l'envers, mais même l'étape d'Andorre a été soporifique alors que tout le monde se réservait pour celle ci. Meme un CLM en 1ère semaine n'aurait rien changé, autrement l'étape du Grand Colombier n'aurait pas été escamotée. Justement cette étape Jurassienne était parfaitement dessinée. La plaine pouvait permettre de creuser les écarts en positionnant ses coéquipiers à l'avant. C'était une des rares étapes permettant une course d'équipe. Pour avoir monté Finhault Emosson, j'ai été déçu de cette montée, elle n'est pas parfaite pour une grande course de mouvement. Les 5 premiers km sont roulants et les 5 derniers sont de plus en plus durs, exactement le genre de col qui fait que l'on préfère attendre pour ne pas exploser au sommet. Quel que soit le parcours, avec 4 coureurs en 1mn pour le podium et le col de Joux Plane en dernière difficulté, qui aurait pu penser que personne ne bougerait dans cette ascension? Quelle honte! Le parcours était bon, avec une 1ère semaine plus simple que dans les précédentes éditions (après tout il faut changer et les 15 dernières étapes étaient tout de même plus dures que dans les précédents parcours). On a simplement un manque de grands coureurs, ce qui fait une course où tout le monde suit, avec toujours une excuse pour ne pas bouger. C'est pour ma part le pire Tour qu'il m'ait été donné de suivre, il suit un Giro qui n'avait pas été déjà transcendant (attendre la 19ème étape pour avoir du mouvement ne fait pas de ce Giro un bon cru). Décidément 2016 n'est pas une année de grand Tour, la Vuelta va-t-elle changer la donne? Contrairement aux journalistes, je ne me satisfait de 12-13km d'attaque de Bardet pour m'enthousiasmer. D'ailleurs, heureusement que Chérel lui a bougé les fesses, autrement, je sens qu'il aurait fini au pied du podium.

  Lucas - le dimanche 24 juillet 2016 à 18h31 Bonjour à tous! Le parcours était selon moi bien pensé au niveau des enchaînements des étapes, mais les étapes en elles-même étaient peu compliquées, la plus dure pour moi étant Pau-Luchon, en 8e étape... Arrivée au Lioran inutile (St Jacques des Blats!!!) Arcalis roulant, Gd Colombier par son versant moins difficile (et 10km de plat incompréhensibles entre Anglefort et Culoz), quasiment que du plat avant Forclaz-Emosson, trop de répit entre les cols Colombière/Ramaz/Joux Plane, et une arrivée en descente pour finir le Tour, certes c'est original mais cela n'arrange pas les vrais grimpeurs qui préfèrent tout donner dans la dernière arrivée en côte sans penser à la descente. Mes points positifs : bonne première semaine jusqu'aux Pyrénées, transition Pyrénées Alpes bien pensée (sprint-vent-Ventoux-CLM-sprint-moyenne montagne-sprint) sauf ce plat Anglefort-Culoz, un cronoscalata qui m'a autant fait vibré que la victoire de Bardet, et un enchaînement Bisanne-Bettex qui s'est révélé intéressant car deux descentes Saisies-Domancy techniques. Pour ce qui est du spectacle... La météo l'a fait à elle toute seule (vent/orages) : à part Froome dans la descente du Peyresourde il n'y a pas eu d'attaque de favoris avec des conditions climatiques normales (et à plus de 5km d'une arrivée!) Me tarde déjà le parcours de l'an prochain, qui devrait se faire dans l'ordre Alpes-Pyrénées, avec les Vosges voire le Massif Central en plus. J'espère plus d'altitude(s) dans les Alpes et plus de nouveautés piquantes dans les Pyrénées (Pays Basque) avec des cols plus longs, plus durs et enchaînés sans répit.

  André - le lundi 25 juillet 2016 à 08h51 Bonjour Olivier. Vous etes le premier peu enthousiaste suite au dernier Giro. Quelques rappels : guerillas dans le sud après le chrono initial. Sur le premier sommet, pas trop dur sur les hauteurs de Roccaraso, nous enregistrons déjà des écarts supérieurs à ceux de quasi toutes les arrives en altitude du Tour. Week-end orageux en Toscane pour strade bianche marquee par un grand numéro de Brambilla, et clm. long (placé aussi très/trop tot). Du movement dans le Frioul, ou Nibali "fragmente". Magnifique étape dolomitique (5 cols à + de 2000m dont le Pordoi dans sa totalité et le durissimo Giau) avec un final à rebondissements. "Cronoscalata" surprises. Vers Andalo, des favoris coupés en deux sur les 80 derniers km "affolants". Ecarts inattendus. Et, vous ne le contestez pas, un final exceptionnel. Les caciques d'ASO auraient signé des deux mains pour que le défunt Tour regorge du "quart de la moitié" des évènements du Giro. Vous avez mis le doigt sur le gros défaut de montées comme Emosson : un pied et un sommet inégaux qui bloquent. Vers Morzine, j'ai mille fois insisté sur l'importance d'une montée comme Morillon-1100 si on veut conclure par Joux-Plane. Parmi les plus gros écarts enregistrés dans cette station haut-savoyarde, je pointe 1981 avec un final Joux-Plane/Joux-Verte ... Bizzarre quand meme, et pas assez sélectif (à 3 jours du terme), ce clm. Sallanches-Megève. Mais, les chromos furent les étapes les plus captivantes vu que la montagne a (excepté 2/3 défaillances) accouché d'écarts au compte-gouttes. Je n'ai pas bougé d'un mm quant à mes appréciations des Pyrénées. Ain : pas une mauvaise étape, mais je reste aussi sur mes positions : Gd Co-sudouest/Biche et éventuellement un circuit final inversé (descente sur Culoz). Je ne suis pas naïf. Avec les oreillettes, nous allons droit dans le mur du faux-spectacle ou du pas de spectacle du tout ! N'en déplaise aux DS, plus que la reduction du nombre de coureur par équipe (je soutiens cette proposition), l'instinct, le sens de la course des coureurs sont des elements qu'il faut retrouver. Lucas : Saint-Jacques des Blats : faudrait une approche départementale en parallèle avec la mise en valeur des volcans. AT : Je ne pense pas, dans l'histoire du Tour, que la montagne ai été si peu animée avec des écarts aussi faibles. Je racle les fonds de ma mémoire en vain. Ciao.

  1010 - le mardi 26 juillet 2016 à 23h04 Bonjour à tous Je me suis laissé quelques jours pour prendre un peu de recul sur le Tour qu vient de se terminer. Le parcours : Sur la première semaine, on s'est ennuyé quelques fois mais c'était pas pire que l'année dernière. Les étapes type LBL sont de toute façon trop rares. Les Pyrénées tracées à l'envers mais pourtant on a pas assisté à un festival offensif à Arcalis. Quant aux Alpes/Jura, je soutiens que les étapes n'étaient pas "ratées". Forcément, on aurait aimé quelques améliorations (GC par Virieu, St Gervais, Morillon, ...) mais il y avait largement de quoi mettre en place des grands mouvements de course. Je rejoins donc entièrement l'avis d'Olivier. Une seule tentative pour déstabiliser la Sky : Valverde qui attaque dès le départ de l'étape n°9. Après, clairement tout le monde ne jouait que la 2ème place. C'est quand même incroyable que sur un tel parcours, personne ne tente la moindre attaque la veille de Paris. La seule attaque (sérieuse) dans Joux-Plane : Rodriguez et il gagne 50 secondes. Preuve que le rythme n'était pas si infernal et qu'il n'était pas impossible d'attaquer. Et dans les descentes, on laisse Froome descendre tranquillement alors qu'il aurait forcément laissé filer un concurrent prenant tous les risques en descente (par ex : Yates). La plus grosse déception montagnarde depuis le Ventoux 2009 ? J'ai été "choqué" de voir que sur des étapes comme Culoz et Morzine, on retrouve une dizaine de favoris regroupés et des attaques aussi peu nombreuses et peu incisives. J'ai vraiment eu l'impression qu'une étape de montagne qui arrive en descente/vallée n'est pas considéré comme une étape décisive. Cette idée répandue chez les journalistes est donc en train de se propager chez les coureurs/DS. Et bien, supprimons toutes les arrivées au sommet ! De même, les chronos prennent encore une fois une place beaucoup trop importante dans l'élaboration du classement général. Désormais, je vais me plonger dans la création d'un Tour "anti-Sky". En tout cas, j'espère que pour l'édition suivante, CP et TG sauront tirer les leçons des événements (sportifs et organisationnels). Je n'ai pas souvenir de m'être aussi peu enthousiasmé sur un Tour de France et il ne serait pas tolérable de revivre un tel non-spectacle. "Evidemment", je suis pour des oreillettes branchées sur Radio-Tour. Passer à 8 coureurs par équipe irait dans le bon sens également. Mais pas moins. Enfin, je me demande quels champions sont aujourd'hui capables de prendre le risque de tout perdre pour tout gagner ? Contador, Nibali, ... Quintana fait-il partie de cette caste (Stelvio 2014/Tour 102) ?

  Fred - le mercredi 27 juillet 2016 à 22h36 Bonsoir a tous, Concernant l'analyse du tour de France 2016 c'est le pire de l'histoire avec 2012 pour ètre soporifique et pour l'audience. La seule différence vient du tracé, en 2012 il y avait peu de montagne et cette année trop. Il faut supprimer les oreillettes, faire des tracés avec plus de chrono comme a une époque sur le giro et la vuelta 60 Km en moyenne, faire entre 3 et 5 arrivées au sommet, voir 2 comme en 98. Le dernier point serait de retrouver des coureurs avec une autre psychologie qui dopés ou pas aurez une mentalité de gagnant pas de gestionnaire d'entreprise.

  Pierre LACOUE - le jeudi 28 juillet 2016 à 20h13 Etant d'avis avec beaucoup ici que le Tour était soporifique je ne vais pas rajouter de couches. Simplement dire, et très peu en ont parlé que les pédaliers ovales donnent un léger avantage aux Sky. Des techniciens l'ont prouvé. Et s'il n'était que de 0,5% (sur les CLM et les étapes de montagne) un très rapide calcul nous indique que les 4 minutes d'avance de Froome sur Bardet et Quintana auraient du être quelques minutes de retard. Guimard, qui n'est pas n'importe qui, voulait les utiliser à la fin des années 80 début des années 90. L'UCI le lui avait interdit comme ce matériel n'était pas homologué. Dommage que l'invention soit protégée. Tous les fabricants devraient pouvoir en commercialiser. Et là peut-être que le suspense...... Sinon on pourra regretter l'abandon rapide de Contador, le fait que Nibali ait donné la priorité au Giro, le virus surprise qui a condamné Pinot déja privé de Geniez comme équipier, l'absence de Peraud en équipier de luxe de Bardet et le fait que Poels et Landa préférent faire les équipiers...... Cordialement

  bapt77 - le jeudi 28 juillet 2016 à 23h11 Pierre Juste pour rectifier. Seul Froome utilise actuellement ce type de pédalier. Sky a préféré conserver son partenariat avec Shimano, et seul le ''patron'' de l'équipe a eu le privilège de conserver son invention. Il l'utilise depuis presque toujours ... De ce fait, tout le reste de son armada n'avait aucun avantage sur le reste du peloton. De plus, selon les experts, la version sur les potentiels avantages procurés par ces pédaliers changent ... Je reviendrais plus tard sur l'ensemble des petits débats évoqués récemment. Je n'y ai pas la tête (vacances oblige) et je préfère comme 1010 me laisser du temps à la réflexion.

  Fred - le lundi 01 août 2016 à 23h59 Bonsoir, j'ai oublié de dire dans mon dernier message qu'il y a aussi des petits arrangements entre amis d'ou aussi le manque de combativité de certains. Les meilleurs tours de C.Prudhomme sont : 2011 Très grand cru et 2013 bon cru. le reste c'est moyen a très mauvais comme 2012 et cette année. Les premières semaines ont peut-ètre changé mais a ce rythme Le grand Cavendish va faire exploser Merckx, certes ce n'est pas la faute des personnes qui font le tracé mais comme quoi il y a eu des ratés par le passé sinon le compteur ne serait pas aussi haut. Comme dit sur d'autres messages plus le tour est difficile, plus le coureur le plus fort écrase ses adversaires et de tout temps ce fut la mème recette. Concernant les tracés le fait de mettre rarement l'alpe d'huez et d'arréter ce fameux suspens jusqu'a la veille des champs en mettant de la montagne l'avant dernier jour serait pas mal.

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  [quote=Fred]Bonsoir a tous, Concernant l'analyse du tour de France 2016 c'est le pire de l'histoire avec 2012 pour ètre soporifique et pour l'audience. La seule différence vient du tracé, en 2012 il y avait peu de montagne et cette année trop. Il faut supprimer les oreillettes, faire des tracés avec plus de chrono comme a une époque sur le giro et la vuelta 60 Km en moyenne, faire entre 3 et 5 arrivées au sommet, voir 2 comme en 98. Le dernier point serait de retrouver des coureurs avec une autre psychologie qui dopés ou pas aurez une mentalité de gagnant pas de gestionnaire d'entreprise. [/quote]
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