Added: Thursday 06 March 2008 at 23h24

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Currently 2 comments!
  1. L'hypocrisie affichée ,aussi bien, chez les organisateurs, les sponsors, les directeurs sportifs, la presse et les coureurs eux-mêmes plonge aujourd'hui le beau sport qu'est le cyclisme dans une crise véritablement suicidaire.
    Ceux-la mêmes qui encenssaient les exploits de ces athlètes, tout en sachant parfaitement bien qu'ils étaient tous soignés et préparés par des équipes médicales et des labos, jouent aujourd'hui les veuves effarouchées et n'hésitent pas à traiter leurs anciennes idoles d'"assassins".
    Profitant du malaise entourant actuellement ce sport, certaines associations "privées" cherchent à s'emparer de la part du lion et d'imposer leur nouveau dictat sur la discipline en pretextant vouloir la rendre plus propre.Si l'UCI a beaucoup de choses à se reprocher, il apparaît évident que
    l'ASO ne vaut guère mieux par son attitude arrogante et basée surtout sur le profit. Cela se reflète dans sa volonté d'écarter certaines équipes (trop?) puissantes et de pouvoir sélectionner d'autres (très) coopératives.
    Exemple: ASTANA(Contador):NON, COFIDIS(Boyer):OUI
    En fin de course, ce sont cependant les coureurs qui ont été et resteront les victimes de ce combat car j'avoue émettre un certain doute vis à vis de certaines affaires qui ont eu lieu l'année dernière et qui font bien les affaires de certains aujourd'hui.Quelques exemples au hasard: le dossier Kashechkin qui àce jour, n'a toujours pas de dossier instruit ni à la fédération kazak, ni à l'UCI, plus de 7 mois après avoir été contôlé positif, non pas au Tour(alors qu'il y a subi 3 contrôles sanguins et 3 urinaires), mais en vacances le 1er aôut alors que son équipe s'était auto- suspendue pour un mois.De plus, impossible de se défendre car les labos en contrat avec l'UCI ne peuvent accepter un nouveau contrôle du même coureur(?) même lorsque celui-ci a, entre ses mains, une autre analyse (ne trouvant rien d'anormal!)mais faite par un labo(français)lui, non reconnu par l'UCI.
    Le cas MAYO reconnu positf en 1ère analyse,puis négatif dans un autre labo reconnu, puis de nouveau positif.
    Bien d'autres exemples pourraient encore être cités mais je pense qu'aujourd'hui les coureurs ont surtout peur de perdre leur boulot en prenant telle ou telle attitude et qu'ils ont l'impression d'être les dindons de la farce qui se joue actuellement.T

    | Theunissenfrancis | Thursday 06 March 2008 at 22h38

  2. De heren van de UCI moeten eens op een managementscursus. Daar kan je leren dat het resultaat van een beslissing het product is van de kwaliteit maal de acceptatie. De Pro-Tour op zich was helemaal geen slecht plan maar als je niets doet aan de acceptatie door \'ijzeren heinig\' je regels op te willen leggen aan de renners en de organisatoren die ermee moeten werken dan roept men de oorlog op. Ik vind het vreemd dat men niet kan samenwerken als het gaat over een \'schone\'toekomst van de wielersport. Het is echt niet zo vreemd dat de A.S.O. niet staat te juichen als Astana zich meldt voor deelname aan door A.S.O. te organiseren wedstrijden. Gasten die twee jaar op rij mijn feestje zouden verpesten waren bij mij ook niet echt welkom. Die gevoeligheid had ook de UCI kunnen verwachten. Normaal ga je dan met elkaar in overleg om uit het probleem te komen maar nee de U.C.I gaat op haar strepen staan. Het wordt tijd dat men wijzer wordt.

    | Geert | Thursday 13 March 2008 at 16h16